Elon Musk : ce génie excentrique qui veut changer le monde

Elon Musk : ce génie excentrique qui veut changer le monde - Cultea

Elon Musk, c’est l’histoire d’un génie milliardaire qui a de la suite dans les idées. En 2002, cet entrepreneur fait fortune en vendant à eBay la société Paypal dont il était l’un des propriétaires. Dans la foulée, il crée SpaceX, société privée dont le but est d’envoyer l’homme sur cette planète rouge qu’on appelle Mars. Rien que ça ! Cultea vous propose de revenir sur le parcours de cet homme hors du commun.

Une enfance passée en Afrique du Sud

Elon Musk est né le 28 juin 1971 à Pretoria, en Afrique du Sud. Il y grandit aux côtés de son frère Kimbal et sa sœur Tosca. Elon vit dans une famille aisée, bien loin des tumultes secouant la société sud-africaine dans les années 70, alors sous le joug de la politique raciste de l’Apartheid. 

Quelques jours avant les émeutes de Soweto, durant lesquelles des centaines d’étudiants noirs sont tués par la police, le futur milliardaire fête ses 5 ans. Vingt ans plus tard, Elon Musk semblera justifier son départ vers les Etats-Unis par une forme de « conscience sociale pour ne pour ne pas participer au service militaire obligatoire » de son pays « ce qui l’aurait contraint à participer au régime de l’Apartheid ». C’est du moins ce qu’on apprend dans le livre d’Ashlee Vance Elon Musk. Tesla, PayPal, SpaceX : l’entrepreneur qui va changer le monde. Elon Musk a d’ailleurs participé à cette biographie, même s’il a semblé vouloir s’en détacher à la sortie du livre. 

Son attrait pour les nouvelles technologies le pousse à rejoindre le « pays de la tech ». C’est ainsi qu’il migre aux Etats-Unis. D’ailleurs, les ascendances canadiennes de sa mère, Maye, ont facilité sa démarche.

Ancienne mannequin, Maye Musk demeure aujourd’hui encore très proche de son fils. Elle commente d’ailleurs chacun de ses faits et gestes sur Twitter. En revanche, Elon Musk entretient des relations très distantes avec son père Errol. Pourtant, lors du divorce de ses parents, il avait choisi de vivre à ses côtés. 

Mais le futur créateur de SpaceX paraît en conserver un souvenir amer : « Je n’ai pas eu une bonne enfance, elle peut sembler bonne… mais ce n’était pas une enfance heureuse. C’était comme un supplice. Il s’entend à vous gâcher la vie c’est sûr ». Les accusations de maltraitance semblent comme voilées. Errol Musk, quant à lui, répond désormais à son fils par voie de presse, l’accusant de se comporter à son égard comme s’il faisait une tardive crise d’adolescence : « Elon a besoin de grandir un peu ».

Une personne de sa famille a eu une influence déterminante sur Elon Musk : son grand-père paternel, Joshua Norman Haldeman. Ce canadien excentrique fut l’organisateur de l’un des premiers rodéos du Canada. Médecin chiropracteur mais aussi politicien, il acquiert une notoriété par son goût pour l’aviation. On le voyait parfois traverser l’Amérique du Nord au bord d’un monomoteur où s’entassait toute la famille. 

En 1950, Pépé Norman décide du jour au lendemain de quitter son pays, dont l’administration lui paraît trop envahissante. Cet homme qui interdisait chez lui « les jurons, le tabac, le coca-cola et la farine raffinée » pestait contre le déclin de la moralité au Canada. L’homme choisit de s’installer en Afrique du Sud, pays où il n’avait jamais mis les pieds. Là, son épouse Wyn Haldeman et lui peuvent donner libre cours à leur soif d’aventures aériennes. A titre d’exemple, on les voit réaliser un périple de 48.000 km pour un aller-retour entre l’Afrique du Sud et l’Australie, avec escales en Iran, en Inde et en Malaisie. Maye Musk raconte : « Papa s’est évanoui juste au-dessus de la mer de Timor et Maman a dû se débrouiller toute seule jusqu’à son arrivée en Australie ». Selon Elon Musk, sa grande tolérance au risque vient de cette ascendance.

Petit mais déjà génie du logiciel

Elon Musk est un jeune garçon introverti vivant dans sa bulle. Sa mère dit de lui que, enfant, « il rentre à l’intérieur de son cerveau et vous voyez juste qu’il est dans un autre monde ». Dans les premières années de sa vie, Musk est si peu réactif que ses parents le pensent sourd. Plus tard, il s’anime à la lecture des comics, des livres de science-fiction et de fantasy. Il devient fan du Seigneur des anneaux, du cycle Fondation de Asimov ou encore le Guide du voyageur galactique. 

Mais son coup de foudre va porter sur l’informatique. Dans le livre d’Ashlee Vance, on apprend qu’ « A 10 ans, Musk harcèle son père après avoir vu son premier ordinateur dans la vitrine d’un magasin et devient propriétaire d’un comodore VIC 20″. Un manuel de programmation écrit en langage BASIC accompagne l’appareil. Selon Musk, il fallait 6 mois à un utilisateur lambda pour ingurgiter ce manuel, mais lui avale en seulement 3 jours.

Arrivé aux Etats-Unis, il poursuit quelques études peu mémorables. Puis il se lance avec son frère Kimbal dans le monde des start-up. A noter que ce nom n’existait pas encore au milieu des années 90. 

A partir de cette époque, Elon Musk affirme que l’internet, les énergies renouvelables et l’espace allaient connaître des changements importants dans les prochaines années. Avec le recul, on peut dire que Musk était un véritable visionnaire. 

Et c’est du côté du web que portent les efforts des frères Musk. Leur première compagnie se nomme Zip2. C’est une sorte de synthèse de Google map (qui n’existe pas encore à l’époque) et des Pages Jaunes. Autrement dit, le programme permet de trouver la pizzeria, la bibliothèque ou le cinéma le plus proche. Un seule condition : les différents établissements doivent avoir pris un abonnement à Zip2 pour y être référencés.

La révolution de la finance en mode 2.0

Dans le duo, les rôles semblent clairement définis : Kimbal, social et avenant, démarche les clients ; Elon demeure tapi derrière son clavier. Mais déjà sous le geek pointe le champion du marketing et de la communication. En effet, pour gonfler l’importance du service web qu’offre Zip2, Elon lui donne un aspect physique imposant en construisant un énorme boîtier, qui sera ensuite posé sur un ordinateur quelconque, le tout placé sur un socle à roulette. Dans le livre d’Ashlee Vance, on peut lire : « Si jamais des investisseurs passaient par là, il faisait son numéro en roulant cette grosse machine qui donnait l’impression que Zip2 fonctionnait sur un puissant mini-ordinateur ».

Zip2 remporte un franc succès. Si bien que la société d’ordinateurs Compaq rachète le logiciel. L’opération permet à Elon Musk d’empocher 22 millions de dollars, qu’il replace presque intégralement dans son nouveau projet : X.com. Cette nouvelle start-up investit le champ encore vierge de la banque sur internet. Mais il semblerait qu’Elon ne soit pas le seul à s’intéresser à cette piste. En effet, au même moment, l’idée germe dans la « tête » d’une autre compagnie, créée par un autre petit génie de la Silicon Valley, Peter Thiel, et baptisée Confinity. 

Et comme deux génies valent mieux qu’un, les deux sociétés finissent par fusionner pour devenir PayPal. La société révolutionne la finance sur internet. eBay finit par la racheter, permettant à Elon Musk d’empocher 250 millions de dollars dans l’opération, « soit 180 millions après impôts ». De quoi lâcher la bride à ses projets suivants. Nous sommes alors en 2002 et Elon Musk vient d’être naturalisé américain.

Tesla ou la commercialisation de la voiture électrique

Zip2, Paypal, Elon Musk ne s’arrête pas là… En effet, il est aussi le patron (directeur général, DG) du constructeur automobile américain Tesla spécialisé dans l’auto électrique autonome. Mais que doit-on comprendre par « autonome » ? En réalité, la société propose à l’instant « t » une aide à la conduite autonome baptisée Autopilot. Celle-ci permet au conducteur dans certaines situations de retirer ses mains du volant. Mais attention, pas question pour autant de s’endormir au volant ! 

Musk, fidèle à son optimisme perpétuel, a annoncé le 9 juillet 2020 que Tesla était très proche du stade 5 des véhicules autonomes permettant à une voiture de se déplacer sur une route sans l’intervention d’un conducteur au volant. Lors de la Conférence mondiale sur l’intelligence artificielle (WAIC) à Shanghai, Elon Musk déclarait : « Je suis extrêmement confiant sur l’arrivée du niveau 5, qui est en gros l’autonomie complète, et je pense que cela aura lieu très rapidement ». 

Plein d’audace et d’ambition, il affirme : « Je reste persuadé que nous disposerons des fonctionnalités de base pour une autonomie de niveau 5 cette année ». 

Les Tesla sont aujourd’hui capables d’une autonomie de 500 km environ. Toutefois, le 22 septembre 2002, lors du dernier « Battery Day », Elon Musk promet de pousser les capacités de ces batteries. En attendant, les idées de grandeur ne cesse de fuser dans l’esprit de ce génie des temps modernes.

Un pont vers la planète rouge

Oui, oui, vous avez bien lu ! C’est sans doute LA réalisation la plus célèbre de Musk : la société spatiale SpaceX. Son but : faire voyager l’être humain vers Mars, celle qu’on appelle la planète Rouge. Mais quand pourrons-nous prendre nos billets pour cet incroyable voyage ? A en croire Elon Musk, ce serait l’affaire de quelques années. 

Ainsi, en 2017, le fondateur de l’opérateur privé s’exprimait lors d’un congrès mondial d’astronautique rassemblant 4.000 experts à Adélaïde, en Australie. Il y exposait le plan de SpaceX pour ce système de transport interplanétaire. Son nom de code : Big Fucking Rocket (BFR, ou « putain de grosse fusée »). 

Lors de ce congrès, Musk avançait alors que la construction du premier vaisseau devait commencer dans six ou neuf mois : « Je suis assez confiant qu’on pourra achever le vaisseau et le lancer dans cinq ans environ ». Son objectif est qu’au moins deux engins-cargo « puissent atterrir sur Mars en 2022 ». Avec pour mission principale de trouver la meilleure source d’eau possible. Ces vaisseaux transporteraient les infrastructures suffisantes pour assurer la survie sur Mars, « avant que des gens n’y soient convoyés en 2024 ».

Mais s’agissant des délais, Elon a été bien ambitieux sur ce coup-là. Et non, ce n’est pas uniquement la faute de l’épidémie de coronavirus… Elon Musk entretient notoirement un rapport élastique aux agendas. Quand il parle de « semaines », il faut souvent comprendre « mois » !

Une voiture dans… l’espace !

Dans les faits, cela ne servirait à rien d’envoyer une voiture dans l’espace. Si ce n’est d’augmenter la pollution sur ce dernier espace qui nous reste… Mais côté pub, c’est la recette d’un carton mondial ! C’est d’ailleurs ce qu’a prouvé Elon Musk en mettant au point une voiture made in Tesla qui défie la gravité terrestre. 

Ainsi, le 6 février 2018, pour son vol inaugural, le lanceur Falcon Heavy de SpaceX a réussi à envoyer un roadster vers les étoiles. Au volant du véhicule électrique rouge, un mannequin surnommé Starman. Sur le tableau de presse, la formule « Ne paniquez pas » tirée du Guide du voyageur galactique. La voiture suit désormais une trajectoire elliptique autour du Soleil qui l’amène à repasser dans le voisinage de Mars ou de la Terre. Un passionné d’astronomie lui a même consacré un site, whereisroadster.com, qui permet de tracer en temps réel la position du véhicule dans l’espace.

Mais passé le côté coup de pub, on s’intéresse d’autant plus à l’aspect opérationnel de la chose. Il faut savoir que SpaceX a également conçu la capsule Dragon Crew. Il s’agit d’une sorte de taxi de la Nasa destiné à envoyer des astronautes vers l’ISS. (La station spatiale internationale gravite à environ 400 km au-dessus de nos têtes). 

Le 30 mai 2020, soit il y a environ un an maintenant, la fusée commerciale Falcon 9 de SpaceX a ainsi quitté la Terre – depuis Cap Canaveral en Floride – avec à bord de son « Dragon » les astronautes Douglas Hurley et Robert Behnken. 

Nouveau coup de pub pour les US ! Puisque l’opération a marqué le retour du pays de l’Oncle Sam au vol habité depuis son sol. Cela n’était effectivement pas arrivé depuis la mise à la retraite des navettes spatiales en juillet 2011. Il faut aussi dire que l’utilisation du Dragon Crew met aussi un terme à neuf ans de dépendance envers les Russes. A titre de rappel, leur capsule Soyouz avait à l’époque le monopole de la desserte du laboratoire spatial. C’est d’ailleurs sur une capsule Dragon Crew que l’astronaute français Thomas Pesquet est retourné sur l’ISS. 

Mais ce n’est pas tout. SpaceX est aussi le moyen pour Elon Musk d’envoyer dans l’espace les satellites qui vont constituer le réseau Starlink. A terme, cette constellation devrait se constituer de pas moins de… 42.000 engins ! Vous vous demandez sans doute pourquoi tout cela. En réalité, cela est censé permettre d’arroser la Terre par de l’internet mobile, sans qu’il ne demeure plus aucune zone blanche. 

Noble projet nous direz-vous. Seul problème : Musk a établi cela sans aucune concertation avec la communauté internationale des astrophysiciens, qui sont vent debout contre le projet Starlink. Ces scientifiques craignent que tous ces engins qui brillent la nuit ne gâchent les observations faites via leurs télescopes. 

Longtemps méprisant à leur égard, Elon Musk a finalement répondu aux astronautes en leur annonçant que, pour résoudre le problème, ils équipera ces prochains satellites… de pare-soleils !

Méfiant envers l’intelligence artificielle

Génie oui, mais méfiant quand même à l’égard de l’intelligence artificielle. Lors d’un symposium organisé en octobre 2014 par le MIT (Massachusetts Institute of Technology), Elon Musk a affirmé qu’il considérait qu’elle pouvait « être un danger pour l’humanité ». Musk plaide alors pour une surveillance de l’utilisation de ces technologies. Dans cette perspective, il a cofondé en 2015 OpenAI, un organisme consacré au soutien de projets d’IA « amicales ».

Et la vie privée dans tout cela…

Elon Musk n’est pas seulement un génie qui veut révolutionner le monde. C’est aussi un papa de six enfants issus de son mariage avec l’écrivaine Justine Musk Wilson, qui a partagé sa vie entre 2000 et 2008. 

En 2002, son fils aîné décède seulement quelques semaines après sa naissance. Deux ans plus tard, le couple donne naissance à des jumeaux nommés Griffin et Xavier. En 2006, la famille s’agrandit. Elle accueille en effet les triplés (!) Damian, Saxon et Kai.

En 2010, Elon Musk épouse en secondes noces l’actrice britannique Talulah Riley mais leur divorce est prononcé deux ans plus tard. Cependant, le couple se retrouve et se remarie en 2013. Mais trois ans plus tard la séparation est définitive. Ainsi, en octobre 2016, le couple divorce à nouveau.

En avril 2017, Elon Musk et l’actrice Amber Heard officialisent leur romance sur les réseaux sociaux mais leur idylle reste de courte durée. En effet, ils se séparent en juillet 2017, soit après trois mois seulement de relation. 

Début janvier 2020, la chanteuse Grimes, nouvelle compagne d’Elon Musk annonce sur Instagram qu’ils attendent un enfant et le 4 mai 2020, papa Elon annonce la naissance de son fils sur son compte Twitter. Le moins que l’on puisse dire c’est que le dernier né de la famille Musk a un prénom plus que particulier : X Æ A-12. Essayez seulement de le prononcer.

Elon, le controversé

Présenté comme colérique, impulsif et mégalomane, Elon Musk alimente de nombreuses polémiques. Il a dû renoncer à la présidence du fabricant automobile Tesla, après avoir mis en péril son cours en Bourse via une série de Tweets. Par ailleurs, il collectionne les excentricités, notamment en fumant du cannabis en pleine interview, en commercialisant un lance-flammes ou encore en décidant d’appeler son sixième enfant par la formule mathématique « X Æ A-12 ».

Obsédé par l’inter-connexion de l’intelligence humaine, Elon Musk inspire le personnage de Tony Stark dans la saga cinématographique Iron Man. L’entrepreneur ne semble pas vouloir s’arrêter de conquérir la planète Mars. Il a même plusieurs projets en même temps comme son projet Hyperloop en 2013 (transport souterrain à 1200km/h, on rappelle).

Au printemps dernier, il s’était également fait remarquer en jugeant « fascistes » les politiques de confinement pour empêcher la propagation du virus. Enfin, dernière polémique en date et pas des moindres. Elon Musk serait la nouvelle cible du groupe « hacktiviste », Anonymous. Le magazine Forbes nous apprend la publication d’une vidéo mise en ligne le 5 juin par un groupe se réclamant d’Anonymous.

Le message, qui dure 3 minutes et 47 secondes, attaque le patron de Tesla et SpaceX de toutes parts. Les auteurs de la vidéo le décrivent comme un « autre mec riche narcissique qui cherche désespérément l’attention ». Ils l’accusent également d’avoir « détruit des vies » en jouant avec les marchés de la cryptomonnaie. Il faut dire que ses (nombreux) messages sur Twitter montreraient un « mépris clair pour le travailleur moyen ». La vidéo met aussi en exergue plusieurs scandales relayés par les médias et impliquant Tesla (maltraitance des salariés, travail des enfants…). Elle se termine enfin par un message menaçant : « Vous pensez peut-être que vous êtes la personne la plus intelligente de la pièce, mais maintenant vous avez rencontré votre « match ». Nous sommes Anonymous ! Attendez-nous. »

Elon Musk n’a pas réagi directement à ce message. Il a néanmoins publié un tweet énigmatique quelques heures après la publication de cette vidéo : « Ne tuez pas ce que vous détestez, sauvez ce que vous aimez. » Comme le souligne Forbes, il est toutefois impossible d’affirmer que cette vidéo provient réellement d’hacktivistes d’Anonymous et de l’authentifier. YourAnonNews, l’un des comptes Twitter d’Anonymous les plus suivis, a ainsi nié être derrière la vidéo. YourAnonCentral, un autre compte Twitter du même genre, a de son côté approuvé ce message, demandant à Elon Musk s’il allait répondre aux Anonymous.

Quelques anecdotes pour finir 

Au rayon des petites anecdotes, Cultea vous apprend qu’en 2013, Elon Musk a été élu Homme d’affaires de l’année. Année durant laquelle il fonde l’association OpenAI dédiée à la recherche sur l’intelligence artificielle basée à San Francisco.

Le 8 mai 2021, Elon Musk révèle être atteint du syndrome d’Asperger, lors de l’émission Saturday Night Live.

Cette même année, Forbes estime sa fortune à 151 milliards de dollars. L’an dernier, Elon Musk n’apparaissait même pas parmi les 20 personnalités les plus riches de la planète. Il se trouvait effectivement au 31e rang avec une fortune estimée à 24,6 milliards de dollars. Le succès des Tesla et surtout le cours de ses actions ont littéralement multiplié sa fortune par 6 ! Désormais, il talonne Jeff Bezos, l’homme le plus riche du monde.

Vous l’aurez donc compris, Elon Musk est on ne peut plus fantasque tant par ses ambitions professionnelles que par sa vie privée délurée. Et si ce génie milliardaire parvenait un jour à modifier le monde ? Affaire à suivre… 

 

 

Sources : 

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