Gal Gadot s’est exprimé lors de son passage dans l’émission israélienne The A Talk, à propos du remake live-action de Blanche Neige produit par Disney.
L’actrice a affirmé que le film avait souffert au box-office, en partie à cause de la « pression » exercée à Hollywood en lien avec le conflit israélo-palestinien, avant de nuancer ses propos sur Instagram.
Gal Gadot évoque l’échec
Lors de son invitation à l’émission The A Talk, où les invités se font interroger par des personnes autistes, Gal Gadot a tenté d’expliquer cet échec par un climat politique.
« Vous savez, cela se produit souvent dans diverses industries, y compris Hollywood », a-t-elle déclaré. « Il y a une pression sur les célébrités pour parler contre Israël. Et, vous savez, c’est arrivé. »
Elle a poursuivi : « Je peux toujours expliquer et essayer de donner un contexte sur ce qui se passe ici. Et je le fais toujours. Mais à la fin, les gens prennent leurs propres décisions. Et j’ai été déçue que le film ait été incroyablement affecté par tout cela et qu’il n’ait pas bien fait au box-office. Mais c’est comme ça que ça se passe. Vous en gagnez certains, vous en perdez. »

À la suite de la diffusion de l’émission, Gal Gadot s’est tournée vers ses stories Instagram, pour développer ses propos en précisant que d’autres facteurs ont contribué à l’échec du film : « le film n’a pas échoué uniquement à cause de pressions extérieures. »
« J’ai été honorée de participer à un entretien extraordinaire avec des intervieweurs inspirants, dont les questions vont droit au cœur », a-t-elle écrit. « Parfois, nous répondons aux questions d’un endroit émotionnel. Lorsque le film est sorti, j’ai senti que ceux qui sont contre Israël me critiquaient d’une manière très personnelle, presque viscérale. Ils me voyaient avant tout comme une Israélienne, pas comme une actrice. C’est le point de vue à partir duquel j’ai parlé lorsque j’ai répondu à la question. »
Aux côtés de Gal Gadot, qui interprétait la Méchante Reine, personnage central de cette relecture en prises de vues réelles au classique de 1937, le film mettait en vedette Rachel Zegler dans le rôle de la princesse titulaire de Disney, Andrew Burnap dans celui du prince charmant Jonathan, Patrick Page dans celui du miroir magique et Ansu Kabia dans celui du chasseur.
L’accueil de Blanche Neige en salle n’a pas répondu à l’attente. Le film s’inscrit dans la stratégie de Disney et d’autres studios à revisiter leurs classiques, et de produire des remakes live-action. Une stratégie qui rapporte un bon chiffre aux studios
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